Scoliose idiopathique : les causes
80 % des scolioses sont idiopathiques c’est-à-dire de cause(s) inconnue(s).
La scoliose est pourtant connu depuis l’antiquité, décrite par Hyppocrate en 460 av. JC
20% des scolioses ont de multiples causes dont la plupart sont exceptionnelles.
Les plus fréquentes, dans ces 20%, sont bien connues et le seul défi consiste à trouver le traitement qui convient en fonction des possibilités et désidératas du patient.
La scoliose est pourtant connu depuis l’antiquité, décrite par Hyppocrate en 460 av. JC
20% des scolioses ont de multiples causes dont la plupart sont exceptionnelles.
Les plus fréquentes, dans ces 20%, sont bien connues et le seul défi consiste à trouver le traitement qui convient en fonction des possibilités et désidératas du patient.
Les facteurs de risque d'aggravation les plus communs
Les déformations déséquilibrantes entraînant une aggravation mécanique plus rapide et une désorganisation des mouvements, facteur aggravant en soit.
Une mauvaise hygiène de vie personnel comme l’absence d’exercices physiques réguliers et ou une mauvaise ergonomie professionnelle telle la sollicitation répétée de mouvements du dos en mauvaise position.
Chez l’enfant les périodes de croissance rapide du dos sont potentiellement dangereuses soit, approximativement avant 6 ans et après 9 ans et avant la fin de la croissance en hauteur.
L’évaluation de ces facteurs est en réalité complexe car ils sont multiples, parfois connus mais non expliqués, et demande aux spécialistes une étude attentive et personnalisée.
Personne ne peut être défini par un ensemble de chiffres et/ou de statistiques au risque de basculer dans la recette qui ne s’applique qu’à un petit nombre et réservant de mauvaise surprise aux autres.
Une mauvaise hygiène de vie personnel comme l’absence d’exercices physiques réguliers et ou une mauvaise ergonomie professionnelle telle la sollicitation répétée de mouvements du dos en mauvaise position.
Chez l’enfant les périodes de croissance rapide du dos sont potentiellement dangereuses soit, approximativement avant 6 ans et après 9 ans et avant la fin de la croissance en hauteur.
L’évaluation de ces facteurs est en réalité complexe car ils sont multiples, parfois connus mais non expliqués, et demande aux spécialistes une étude attentive et personnalisée.
Personne ne peut être défini par un ensemble de chiffres et/ou de statistiques au risque de basculer dans la recette qui ne s’applique qu’à un petit nombre et réservant de mauvaise surprise aux autres.